Jour 4 : Sortilège
Lorsque l’on parle de sortilèges, beaucoup pensent à la magie. Celle des contes pour enfants ou dans les illustres romans. Elle peut être blanche ou noire. Des incantations complexes ou de simples petits sorts. Et pour être lancés, seul un magicien, une sorcière ou une fée est désigné. Certains sont difficiles à prononcer d’autres nécessitent l’utilisation d’une baguette. Mais dans la vie tout peut-être magie. Nous n’avons pas à aller jusque dans les livres pour être ensorcelés.
Les mots d’une plume peuvent nous faire chavirer. Ils ont le contrôle des émotions. L’écrivain écrit et le lecteur imagine la scène qui se dessine sous ses yeux. Il partage des sentiments, de la tristesse, de la joie. Qui n’a jamais eu le cœur qui bat un peu plus fort, les yeux rivés sur la page, sur les mots noircis, ne voulant plus lâcher l’objet dans les mains, ne voulant pas raté une seconde de ce récit prenant ? Écrivain rime avec magicien, celui des mots qui nous transportent. Merci à vous.
Même si vous ne lisez pas, vous avez sûrement déjà été charmé par un paysage, par une musique, une personne, un animal. Regardez cette boule de poils, on dirait une peluche. Et ce couple de danseurs, cela donnerait envie de faire de même. Qu’est-ce que j’entends ? Un violon, quelle douce mélodie qui m’attire dans ses bras comme Morphée dans le royaume des rêves. Royaume de la magie et de l’imaginaire.